Les rythmes cosmographiques

… et notre vie biologique, psychologique et sociale.

Ainsi, ce qui nous intéresse dans l’horoscopie c’est le lien qui existe entre les rythmes cosmographiques et notre vie biologique, psychologique et sociale.

Une fois la carte du ciel calculée et montée, l’observation succincte des positions des planètes effectuée, alors commence l’interprétation proprement dite. La partie la plus importante et celle qui nous intéresse le plus. Bien évidemment.

Là encore, soyons clair : l’horoscopie, au niveau même de l’interprétation, n’est pas un objet de croyance. Il n’y a pas à croire ou à ne pas croire. D’où notre sous-titre : « Je ne crois pas en l’horoscopie ! »
La croyance est une adhésion, a priori, à un mystère que l’on ne peut pas expliquer, mais qui nous satisfait mentalement, intellectuellement, psychologiquement ou encore affectivement. C’est le domaine de la foi religieuse et à mille lieues de notre propos.

Pour nous, l’horoscope et son interprétation sont avant tout un objet de recherche. Aucune certitude et aucun a priori. C’est pourquoi nous rejetons tout l’aspect « mantie » de l’astrologie traditionnelle, mais, en même temps, nous en gardons toute la symbolique qui nous paraît être une bonne approche (c’est une hypothèse) du lien qui existe entre ces rythmes cosmographiques et nous.

L’horoscope nous fait pénétrer dans le monde du symbolisme.
La fonction symbolique est une fonction humaine par excellence. Point de langage ni de pensée sans la fonction symbolique.

C’est du point de vue du symbolisme que nous considérerons donc l’horoscope et son interprétation.
Le point de vue prédiction ne nous intéresse pas, a priori. A posteriori peut-être, dans la mesure où connaître le caractère et la « structure symbolique » d’une personne permet parfois d’avoir une idée du type d’existence vers lequel cette personne s’orientera, par la force des choses.

Nous n’estimerons jamais, à la suite de cette démarche, tout savoir. Mais nous avons l’intuition qu’elle peut nous apporter quelques éclaircissements.